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  • Une Critique de GUENON - suite

    René Guénon, du haut de sa maigre compréhension, a cependant des avis sur tout, et s’érige en juge et maître de la compréhension que tous doivent avoir de tous les thèmes qu’il aborde et triture comme s’il en était un authentique connaisseurs, un véritable expert, ce qui n’est pas le cas… Et quelle compréhension, dont il pourrait donner un exemple autre qu’intellectuel et ‘culturel ? La sienne ? C’est là, ce me semble, le comble de l’horreur, pour quelqu’un qui avouait ne pas même savoir faire cuire un œuf, ce que confirmait publiquement sa dévouée sœur, chargée de la survie du Maître ! Je note que ses suiveurs – les inconditionnels et féroces guénoniens se déplaçant en groupes pour la plupart – sont aussi sûrs de leur savoir et de la justesse de leurs vues que leur maître, au point de pratiquer le dogmatisme qui le caractérise et qu’il(s) dénonce(nt) pourtant et sans arrêt chez d’autres… La paille et la poutre ! Il n’a pas lu cela dans la Bible, Monsieur Guénon ? Il n’a pas jugé utile de le rappeler à ses fans avant de disparaître, le philosophe majeur ? Bigre !


    D/ René Guénon, déserteur du christianisme, de la maçonnerie régulière, qu’il a vertement et inconsidérément critiquées, chantre de la doctrine indouiste dans son ensemble, se fait musulman – le pire ayant remplacé le meilleur comme en Egypte ! – et s’en va vivre à Gizeh et – tenez-vous bien – il n’ira pas même donner cinquante lignes aux grandes pyramides de Gizeh, qu’il voyait de sa fenêtre… Peut-être de peur de ne pas avoir à en parler en ‘expert’, lui qui ne fit que lire et écrire durant son existence, pensant que vivre et observer est indigne de lui et de tous, et qu’exister n’est pas une expérience de nature spirituelle authentique… Orgueil ! Dé-lire de vanité !