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Spirit - Page 2

  • Horoscopes Cancer, Lion, Vierge, Balance

    Bisounours et calinours Cancers, ben ça va plutôt bien puisque Vénus veille sur vos amours ! la conjoncture est idéale pour confier vos rêves secrets à qui de droit. Au boulot, c’est un peu trop métro, boulot, dodo, et des vétilles suffisent à vous vexer. Prenez du recul. Rien ne vaut que vous vous mettiez dans un état pareil. Que diriez-vous d’un petit massage pour vous redynamiser ?

     

    Glamourissimes Lions, avec Mars comme invité, your are the sunshine of his life (vous êtes le soleil de sa vie) et de la mienne, puisque je suis ascendant Lion. En amour, c’est la passion ou rien. Au travail, le succès et les résultats arrivent enfin. A la casa, meiux vaut ne pas vous contrarier. Vous menez votre petit monde à la baguette et vous savez vous faire entendre. La forme ? Géniale, tout simplement ! Allez, vous pouvez bien vous remettre au sport, maintenant ! En parlant de cela, il est grand temps que je me donne des coups de pied aux fesses moi aussi d’ailleurs, hum, hum !)

     

    Exquises et exquis Vierges, mais que se passe-t-il ? Vous faites la tête oui quoi ? Allons, allons, on se console, tout va bien puisque Vénus vous cajole. Le plan affectif est protégé. A vous maintenant de débrancher votre cerveau de temps en temps. Au travail, vous avez plus le vent en poupe qu’il n’y paraît. Entre collègues, l’ambiance est loin d’être aussi nulle que ça. Lâchez prise sur les petits détails. Pour ce qui est de votre forme, apprenez à vous relaxer.

     

    Lovely et charming Balances, Mercure et Mars sont de votre côté, c’est moi qui vous le dit. Alors puisque ces deux astres conjuguent leur bienfaits en votre faveur, exprimez vos sentiments et désirs. Au taf, pas la peine d’en faire des tonnes, de toute façon, ce n’est pas votre truc. Si vous êtes une maman ou un papa Balance, entre les visites chez le médecin, les réunions de parents d’élèves et votre mère qui se plaint de ne pas assez vous voir, vous surfez allègrement en état de quasi apesanteur. Quelle élégance ! La forme ? Une pêche d’enfer !

  • A LA DECOUVERTE DES MODES DE VOYANCE... fin

    Les voyants qui utilisent leur don de clairvoyance "voient" des scènes et des situations avec leur oeil intérieur. Les visions ne sont pas toujours nettes : parfois floues ou au contraire, tellement précises que le médium a l'impression de vivre ce qu'il voit. Bien souvent, le voyant ne sait pas exactement ce que représente ces scénarios et fait appel à votre interprétation, comme pour recoller les pièces d'un puzzle...

    La clair-audience est très semblable à la clairvoyance, mais elle joue sur un autre sens. Le voyant entend une personne qui lui parle, à moins qu'il ne s'agisse de sons et de plusieurs voix...

    Ce type de voyance n'est pas sans conséquences quand il est pratiqué par téléphone. Le voyant écoute vos questions mais aussi les réponses provenant de l'au-delà. Il fait donc au mieux pour vous transmettre les informations en temps réel. Pas facile ? Eh bien, non ! Ne soyez pas surpris d'éventuels moments de silence. C'est dans ces instants-là que le voyant récupère des informations qui vous seront précieuses : il n'essaie pas de faire monter la facture en vous gardant en ligne le plus longtemps possible...Une fois que vous aurez pu mettre à profit dans votre vie les bons conseils reçus lors d'une consultation, vous comprendrez que votre patience aura été largement récompensée !

  • A LA DECOUVERTE DES MODES DE VOYANCE...

    La clairvoyance et la clairaudience sont les types de voyance les plus utilisés par les médiums. Mais pourquoi ? Lisez plutôt !

    Voyants et médiums reçoivent leurs informations par différentes sources. Aussi variées soient-elles, elles proviennent du monde astral, un monde invisible qui entoure le monde dans lequel nous vivons. Pensées et sensations prennent alors une forme quasi-physique. En accédant à ce niveau de conscience, un voyant utilise certaines parties de son esprit tout comme nous utilisons nos 5 sens.

    Il y a la clairsentience, à rapprocher du sens du toucher. Le voyant ressent certaines énergies et sait immédiatement à quoi elles correspondent. En contact avec un défunt, un voyant clairsentient peut souvent revivre les douleurs et les sensations de cette personne.

    Il existe aussi la médiumnité gustative et olfactive. Le médium peut ainsi sentir les goûts et odeurs qui ont marqué la vie de l'entité avec laquelle il est en contact. Quelques exemples : parfums, plats, odeur de tabac.

    Cela dit, les deux formes les plus communes et les plus précises de communication avec l'au-delà sont la clairvoyance et la clauraudience, qui mettent respectivement en ?uvre les sens de la vue et de l'ouïe. Il est fort probable que vous ayez affaire à un de ces deux modes lors d'une consultation téléphonique.

    Un voyant active une sorte de troisième ?il qui lui permet d'accéder aux informations provenant du monde astral. Cet "oeil" est semblable à nos yeux mais a aussi la capacité de voir dans le passé et de prédire l'avenir. Parfois, il capte aussi ce qui se passe loin de nous, à la période où nous consultons. De nombreux pays comme les Etats-Unis ont fait tester ce système appelé vision à distance.

  • Avis sur le livre : ‘Le Corps ne le sait pas encore – Mémoires cellulaires : Chemin de conscience’

    memoires cellulaires.jpgA l’origine de toute maladie ou problème de santé, il y a un choc physique ou psychique où l’individu s’est trouvé pris au dépourvu : il ne peut résoudre consciemment son problème, tourne en rond dans sa tête, entre dans une phase de stress de plus en plus importante. Son cerveau va gérer à sa place la situation, en puisant dans la banque de données des programmes de survie, la meilleure solution.

    Par exemple vous traversez la route sans regarder, soudain un bus surgit devant vous. Consciemment vous n’avez pas le temps de faire quoi que ce soit. En revanche, votre cerveau analyse la situation et envoie des milliers d’informations aux muscles et nerfs pour vous extraire de cette situation. Suivant le ressenti de ce choc, une certaine zone du cerveau (foyer de Hamer) va être disjonctée et déclencher dans l’organe correspondant une réaction biologique.

    Comment ces chocs sont ils mémorisés ?

    Au même moment, notre cerveau mémorise dans nos cellules tous les paramètres extérieurs du choc :température, odeur, date, couleur… Aussi, il se peut qu’à chaque fois que la personne revit une situation similaire, immédiatement son cerveau va re-déclencher cette même réaction biologique.

    ‘Le Corps ne le sait pas encore – Mémoires cellulaires : Chemin de conscience’ Myriam Brousse

  • Chronique du livre : Les sorcières, fiancées de Satan, de Jean-Michel Sallmann - fin

    sorcières.JPGIl faudra attendre le XVIIe siècle, alors que certains procès défraient encore la chronique, pour que des voix s’élèvent et proposent des explications nouvelles de la sorcellerie. Parmi ces voix, des membres du clergé et des médecins qui posent sans en avoir toujours conscience le problème de la femme dans la société chrétienne. Du point de vue théologique, la femme est marquée par le péché originel et reste l’agent du Diable. Mais l’on voit grâce à ces témoignages que c’est aussi son corps qui inquiète : la méconnaissance de sa physiologie laisse libre cours à toutes les extravagances de l’imagination.

    A la fin de cet ouvrage dont l’iconographie est très réussie - y figurent des peintures de Baldung ou de Bosch mais aussi des gravures et des enluminures saisissantes - se trouvent des documents extrêmement stimulants et prompts à approfondir notre réflexion sur le sujet. Ils concernent tant la vision romantique de la sorcellerie (on y trouve des textes de Michelet aujourd’hui désuets - la sorcière est une femme révoltée contre la société qui l’opprimait, idée que plus aucun historien ne peut plus faire sienne - mais dont la force littéraire demeure intacte), des textes sur l’affaire de Loudun, sur les sorcières contemporaines, sur la sorcellerie dans d’autres cultures mais aussi des recettes traditionnelles destinées à se prémunir, comme celle qui doit empêcher les différends et les divorces : " Pour empêcher le différend et le divorce entre un homme et une femme, il faut prendre deux cœurs de caille, un de mâle et l’autre de femelle, et faire porter celui du mâle à l’homme et celui de la femelle à la femme. Tandis qu’ils le porteront, bien loin avant d’avoir des différends entre eux, ils s’aimeront si tendrement que personne ne pourra les faire haïr l’un de l’autre, pas même avec des enchantements ou des sortilèges ". Convaincus ?

     

    Jean-Michel Sallmann, Les sorcières, fiancées de Satan, Gallimard Découvertes, 1989, 192 p.

  • Chronique du livre : Les sorcières, fiancées de Satan, de Jean-Michel Sallmann

    Vers le milieu du XVe siècle, l’Occident s’embrase. On brûle des femmes et des hommes, mais surtout des femmes : les sorcières sont les fiancées du Diable. Elles vont au sabbat, jettent des sorts, sèment la maladie et la mort. La rumeur propage des noms et des faits, les juges civils et religieux se chargent quant à eux de les prouver. Il faudra attendre deux siècles pour que ce vaste bûcher qui s’est propagé à toute l’Europe s’éteigne.

     

    Jean-Michel Sallmann est professeur d’Histoire moderne à l’université de Paris-X Nanterre, spécialiste de l’Italie et de la sorcellerie. Après avoir étudié la question de la naissance de la sorcellerie qui n’est pas une croyance qui remonte à la nuit des temps mais qui est plutôt un mode de représentation du monde et des forces invisibles qui l’animent, l’auteur s’attache à comprendre les différentes vagues de la chasse aux sorcières dont la plus importante couvre la période 1580-1670. Il analyse ensuite la machine judiciaire qui se mit en marche : la sorcellerie apparaissant comme un crime de lèse-majesté divine au même titre que l’hérésie, on instaure une véritable procédure inquisitoriale où les paysans et paysannes incriminés ont peu de chances de se sortir du mauvais pas où la rumeur ou un comportement suspect les a glissés. C’est à eux qu’appartient de prouver leur innocence ce qui rend leur tâche d’autant plus ardue : "Si l’accusé confesse sous la torture, il faut lui faire renouveler ses confessions au bout de vingt-quatre heures, en un lieu différent (...) S’il se rétracte, il faut de nouveau le soumettre à la torture" (Henry Boguet).

     

    à suivre