La clairvoyance et la clairaudience sont les types de voyance les plus utilisés par les médiums. Mais pourquoi ? Lisez plutôt !
Voyants et médiums reçoivent leurs informations par différentes sources. Aussi variées soient-elles, elles proviennent du monde astral, un monde invisible qui entoure le monde dans lequel nous vivons. Pensées et sensations prennent alors une forme quasi-physique. En accédant à ce niveau de conscience, un voyant utilise certaines parties de son esprit tout comme nous utilisons nos 5 sens.
Il y a la clairsentience, à rapprocher du sens du toucher. Le voyant ressent certaines énergies et sait immédiatement à quoi elles correspondent. En contact avec un défunt, un voyant clairsentient peut souvent revivre les douleurs et les sensations de cette personne.
Il existe aussi la médiumnité gustative et olfactive. Le médium peut ainsi sentir les goûts et odeurs qui ont marqué la vie de l'entité avec laquelle il est en contact. Quelques exemples : parfums, plats, odeur de tabac.
Cela dit, les deux formes les plus communes et les plus précises de communication avec l'au-delà sont la clairvoyance et la clauraudience, qui mettent respectivement en ?uvre les sens de la vue et de l'ouïe. Il est fort probable que vous ayez affaire à un de ces deux modes lors d'une consultation téléphonique.
Un voyant active une sorte de troisième ?il qui lui permet d'accéder aux informations provenant du monde astral. Cet "oeil" est semblable à nos yeux mais a aussi la capacité de voir dans le passé et de prédire l'avenir. Parfois, il capte aussi ce qui se passe loin de nous, à la période où nous consultons. De nombreux pays comme les Etats-Unis ont fait tester ce système appelé vision à distance.
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A LA DECOUVERTE DES MODES DE VOYANCE...
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Avis sur le livre : ‘Le Corps ne le sait pas encore – Mémoires cellulaires : Chemin de conscience’
A l’origine de toute maladie ou problème de santé, il y a un choc physique ou psychique où l’individu s’est trouvé pris au dépourvu : il ne peut résoudre consciemment son problème, tourne en rond dans sa tête, entre dans une phase de stress de plus en plus importante. Son cerveau va gérer à sa place la situation, en puisant dans la banque de données des programmes de survie, la meilleure solution.
Par exemple vous traversez la route sans regarder, soudain un bus surgit devant vous. Consciemment vous n’avez pas le temps de faire quoi que ce soit. En revanche, votre cerveau analyse la situation et envoie des milliers d’informations aux muscles et nerfs pour vous extraire de cette situation. Suivant le ressenti de ce choc, une certaine zone du cerveau (foyer de Hamer) va être disjonctée et déclencher dans l’organe correspondant une réaction biologique.
Comment ces chocs sont ils mémorisés ?
Au même moment, notre cerveau mémorise dans nos cellules tous les paramètres extérieurs du choc :température, odeur, date, couleur… Aussi, il se peut qu’à chaque fois que la personne revit une situation similaire, immédiatement son cerveau va re-déclencher cette même réaction biologique.
‘Le Corps ne le sait pas encore – Mémoires cellulaires : Chemin de conscience’ Myriam Brousse
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Chronique du livre : Les sorcières, fiancées de Satan, de Jean-Michel Sallmann - fin
Il faudra attendre le XVIIe siècle, alors que certains procès défraient encore la chronique, pour que des voix s’élèvent et proposent des explications nouvelles de la sorcellerie. Parmi ces voix, des membres du clergé et des médecins qui posent sans en avoir toujours conscience le problème de la femme dans la société chrétienne. Du point de vue théologique, la femme est marquée par le péché originel et reste l’agent du Diable. Mais l’on voit grâce à ces témoignages que c’est aussi son corps qui inquiète : la méconnaissance de sa physiologie laisse libre cours à toutes les extravagances de l’imagination.
A la fin de cet ouvrage dont l’iconographie est très réussie - y figurent des peintures de Baldung ou de Bosch mais aussi des gravures et des enluminures saisissantes - se trouvent des documents extrêmement stimulants et prompts à approfondir notre réflexion sur le sujet. Ils concernent tant la vision romantique de la sorcellerie (on y trouve des textes de Michelet aujourd’hui désuets - la sorcière est une femme révoltée contre la société qui l’opprimait, idée que plus aucun historien ne peut plus faire sienne - mais dont la force littéraire demeure intacte), des textes sur l’affaire de Loudun, sur les sorcières contemporaines, sur la sorcellerie dans d’autres cultures mais aussi des recettes traditionnelles destinées à se prémunir, comme celle qui doit empêcher les différends et les divorces : " Pour empêcher le différend et le divorce entre un homme et une femme, il faut prendre deux cœurs de caille, un de mâle et l’autre de femelle, et faire porter celui du mâle à l’homme et celui de la femelle à la femme. Tandis qu’ils le porteront, bien loin avant d’avoir des différends entre eux, ils s’aimeront si tendrement que personne ne pourra les faire haïr l’un de l’autre, pas même avec des enchantements ou des sortilèges ". Convaincus ?
Jean-Michel Sallmann, Les sorcières, fiancées de Satan, Gallimard Découvertes, 1989, 192 p.
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Chronique du livre : Les sorcières, fiancées de Satan, de Jean-Michel Sallmann
Vers le milieu du XVe siècle, l’Occident s’embrase. On brûle des femmes et des hommes, mais surtout des femmes : les sorcières sont les fiancées du Diable. Elles vont au sabbat, jettent des sorts, sèment la maladie et la mort. La rumeur propage des noms et des faits, les juges civils et religieux se chargent quant à eux de les prouver. Il faudra attendre deux siècles pour que ce vaste bûcher qui s’est propagé à toute l’Europe s’éteigne.
Jean-Michel Sallmann est professeur d’Histoire moderne à l’université de Paris-X Nanterre, spécialiste de l’Italie et de la sorcellerie. Après avoir étudié la question de la naissance de la sorcellerie qui n’est pas une croyance qui remonte à la nuit des temps mais qui est plutôt un mode de représentation du monde et des forces invisibles qui l’animent, l’auteur s’attache à comprendre les différentes vagues de la chasse aux sorcières dont la plus importante couvre la période 1580-1670. Il analyse ensuite la machine judiciaire qui se mit en marche : la sorcellerie apparaissant comme un crime de lèse-majesté divine au même titre que l’hérésie, on instaure une véritable procédure inquisitoriale où les paysans et paysannes incriminés ont peu de chances de se sortir du mauvais pas où la rumeur ou un comportement suspect les a glissés. C’est à eux qu’appartient de prouver leur innocence ce qui rend leur tâche d’autant plus ardue : "Si l’accusé confesse sous la torture, il faut lui faire renouveler ses confessions au bout de vingt-quatre heures, en un lieu différent (...) S’il se rétracte, il faut de nouveau le soumettre à la torture" (Henry Boguet).
à suivre
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Retour sur la formation planètaire du 8 novembre 2003
La formation planètaire du 8 novembre 2003, sous forme d'Etoile de David, est un grand passage pour une nouvelle Ere que nous attendons tous.
Elle permet de révéler et de réveiller l'existence d'une autre influence céleste de cette même étoile en juillet 1995, mettant en évidence le rôle de la France, missionnée car terre d'élection pour une nouvelle conscience... ce fut le secret de Jésus… nous en sommes malheureusement loin encore, compte tenu de la politique d'inquisition de la France.
Placée sous l'influence de Sainte-Marie-Madeleine, touchant la Provence (la Ste Baume), mais également ce lieu mythique qui est RENNES LE CHATEAU, portant dans ces murs, la révélation d'un grand trésor spirituel, touchant le monde entier.
Il serait bon de créer une chaîne de pensée et de méditation, ce fameux 8 novembre à 13h (heure local), 13h15 pour Paris, pour être en relation avec ce lieu saint, en visualisant une pomme bleue sur le chakra du coeur.
Cette heure précise nous met en relation avec la date si importante du 17 janvier, dont la correspondance astrologique se situe à 26° en capricorne, par la création de l'ascendant.
Il est dit : Le GRAAL est 17 et il est 1...soit le 17 janvier...influence céleste qui est fêtée, chaque année à Rennes, par le passage du Soleil dans le vitrail de l'église dédiée à Marie-Madeleine construite sur un temple d'Isis, formant des pommes bleues sur un pilier et l'Autel.
Ne manquons pas ce rendez-vous, pour cette ouverture de la conscience, touchant également l'Axe du monde pouvant réveiller la France...tout simplement à sa réalité… espérons-le. -
Livre : Philosophie et théologie dans l'oeuvre de Schelling
Contrairement à l'idée reçue, Schelling est davantage qu'une simple étape vite dépassée dans l'aventureuse destinée de l'idéalisme allemand. Il en épouse la forme, comme les contours. Après la mort prématurée de Hegel, c'est à lui que revient la tâche d'en dresser le bilan. C'est ce qu'enseigne l'ensemble de son oeuvre.
Une oeuvre ouverte et inachevée où chaque texte est moins révélateur par lui-même que par la place qu'il occupe au sein d'une courbe difficile à dessiner. A chaque ligne nous voyons s'essayer et se défaire une pensée sans cesse retenue. Parler de Schelling, ce n'est donc pas évoquer un système mais raconter ou faire vivre l'histoire d'une pensée.
C'est bien ce que nous montre Emilio Brito qui, au sein de la coupe longitudinale qu'il nous propose, nous montre deux moments de stabilité. Le premier de 1803 à 1808, et le second de 1827 à 1854. Stabilité relative où une synthèse tente de s'édifier puis de s'imposer. Synthèse qui se reconnaît comme béante et infinie. 1794-1801 et 1808-1827 sont des périodes critiques où la pensée de Schelling ne cesse d'opérer des variations sur elle-même : selon les exigences d'une recherche qui rebondit sans cesse sur ses propres résultats. C'est en s'appuyant sur cette odyssée intellectuelle qu'Emilio Brito montre l'importance du débat foi-savoir au sein de l'oeuvre schellingienne. A l'heure où l'idéalisme s'achève, il est possible que l'oeuvre de Schelling longtemps occultée sorte de son retrait.
Auteur : Emilio Brito
Titre : Philosophie et théologie dans l'oeuvre de Schelling
Editeur : Ed. du Cerf
Collection :
Année : 2000